Andrew Stewart - NYPD

† nom : Stewart  † prénom(s) : Andrew † Surnom(s) : réponse † date de naissance : 21 septembre 1975† lieu de naissance : Norwich † Origines : Américain † quartier de résidence : Brooklyn † métier(s), occupations : NYPD - Capitaine au poste de Manhattan† orientation sexuelle : Hétérosexuel † groupe : Central Park

Capitaine Stewart... D'aucun dirait que c'est un gratte papier, un homme qui n'a jamais pris de risques pour en arriver là où il en était aujourd'hui. Un jugement souvent porté à la hâte par ceux qui le sous-estiment, qui n'ont pas l'habitude de le côtoyer. C'est une impression qu'il laisse, comme si rien ne pouvait venir le perturber dans son quotidien que certains pourraient croire routinier et monotone. Tout du moins c'est ce que l'on a envie de croire de lui, on aime à le penser à cheval sur les règlements, incapable de jouer avec toutes les nuances et les interprétations des lois. Peut-être aime-t-il aussi à le faire penser, lui le gentil. En un sourire il arrive à vous faire oublier que c'est un agent de police. Pourtant, une fois qu'il se met au travail il ne perd jamais le nord, ne se laisse jamais démonter malgré tout ce qu'il pourrait voir et entendre. Son calme et sa patience font de lui un enquêteur redoutable. Il peut attendre autant de temps qu'il le faut pour parvenir à ses fins. Alors quand bien même on peut tenter de le mettre en colère, remuer ciel et terre, lui prouver que l'on savait tout sur lui... Rien ne sera jamais suffisant pour le faire sortir de ses gonds. Il est et restera avant tout un pragmatique, il analyse, observe, cherche à comprendre les tenants et les aboutissants sans jamais porter le moindre jugement. C'est ce qui fait de lui un bon agent, un agent de terrain aux allures de petit bureaucrate un peu coincé..

On m'a toujours dit qu'il fallait considérer le monde par rapport à la vision qui nous en était donné. Mais il n'existe pas un monde, il existe une multitude de mondes, soit autant qu'il existe d'êtres humains sur cette planète. Aussi ai-je toujours considéré le monde qui était le mien comme vaste et mystérieux. Sans doute la raison pour laquelle, très jeune, je m'étais pris de passion pour les mystères, les énigmes et les enquêtes. Mon premier livre d'Agatha Christie m'avait mis le pied à l'étrier alors que j'avais à peine une dizaine d'années. Mais ce livre avait suffi à lui seul à me donner l'envie de marcher sur les traces des enquêteurs. Bien que je ne me sentais pas l'âme d'un Sherlock Holmes. Loin de moi l'idée de pouvoir égaler cet homme qui n'avait d'existence que sur les pages d'un livre rédigé sur le point de vue de Watson. Alors étais-je un jeune Watson en herbe ? Impossible de le savoir. Dans tous les cas, je voulais travailler avec ceux qui faisaient respecter l'ordre et la loi pour lutter contre l'anarchie et le mal. Ce duel d'antagoniste m'avait toujours profondément marqué car pour moi le monde n'était ni blanc ni noir, il était un foisonnement de nuances de gris. Des nuances qu'il fallait observer, comprendre, pour savoir si le coupable était un être monstrueux de nature ou bien seulement un être humain qui n'avait pu faire autrement pour sauver sa propre vie au détriment de celle d'un autre. Étonnante fascination que celle d'avoir envie de comprendre les faits et alors revivre les quelques instants ou les quelques jours qui pouvaient précéder un crime. Tantôt un vol, tantôt un meurtre. Çà et là toutes les petites ou grosses affaires de la vie d'un homme de lois.

Mes parents ayant fait naître en moi cette vocation du bien, ils ne pouvaient que m'encourager à suivre cette voie. Si bien qu'après les études que j'avais mené non sans rigueur et discipline, j'avais décidé d'entrer en école de police pour pouvoir à terme rejoindre les Forces de l’Ordre dans le comté de Chenango. Beaucoup avaient nourrit pour moi de plus grandes ambitions en m'imaginant au FBI, voire la CIA ! Néanmoins il me semblait plus intéressant de travailler pour l’État qui m'avait vu naître, à savoir l’État de New-York. Mon grand-père m'avait souvent répété que pour aller de l'avant, il fallait parfois regarder en arrière et derrière moi mon passé, un passé heureux sans pourtant regorger de gloire. Pourquoi donc partir ailleurs alors qu'une vie correcte et pleines de surprises pouvait encore m'attendre à bras ouvert ? Jeune homme brillant, j'ai pu rejoindre les rangs de la police municipale de Norwich. Une carrière intéressante s'offrait à moi. Durant les premières années de travail je dû faire mes preuves comme n’importe quel bleu. Il m’avait fallu affronter quelques bizutages à l’époque mais rien d’insurmontable lorsque l’on savait rester humble et garder son égo intact. Ce qui en avait dérouté plus d’un en constatant que je ne devenais pas une furie dès qu’un sceau d’eau me tombait dessus. Mais ayant grandi dans une famille nombreuse – nous étions cinq dans ma fratrie – j’étais aguerri à ce genre de petit jeu mesquin.

Les années passèrent non sans agitations passagères. Je m’étais marié et était passé lieutenant de police. Alors que le ciel se refusait à nous laisser concevoir un enfant, avec ma femme nous avions décidé d’adopter ce qui serait pour moi un ange. C’était sans savoir qu’un jour la tempête viendrait à ravager notre famille. La sentence fut prononcée, le divorce. Ma femme ayant obtenu la garde de notre fille, il était temps pour moi de passer à autre chose, non sans une certaine tristesse et de l’amertume dans le cœur. Une épreuve de plus pour me tester, pour éprouver mon âme. Je ne craquerai pas. Mes pas me guidèrent vers une mutation pour le poste de police de Manhattan, au centre de New-York : nouveau départ.
Vie personnelle quasiment inexistante, j’avais tout le temps de me consacrer à mon travail. Les enquêtes s’enchaînaient parfois de façon vertigineuse, me plonge dans la face sombre de la Big Apple. Derrière son histoire, son architecture et ses belles façades, la ville m’offrait un spectacle qui n’avait rien à envier aux Thriller et les films noirs d’autrefois.

Mais c’est un coup de fil qui vint briser cette routine faite de meurtres et crimes. Mon ex-femme avait été retrouvée morte par notre fille : Emily. Un drame j’en convenais, mais l’occasion de retrouver ma fille alors que les années avaient effrité notre relation. Elle vint s’installer avec moi à New-York, elle aussi avait le droit à son nouveau départ après cet évènement traumatique.

Sur mon bureau trônait à ce jour le titre de Capitaine, sous mes ordres des lieutenants à encadrer pour faire deux les meilleurs enquêteurs que pouvait compter Manhattan. Et chaque soir je rentrais en sachant que je n’étais plus seul, cela malgré les épreuves et les obstacles qu’il fallait affronter avec une jeune femme comme Emily. Être père, voilà un métier qui ne pouvait pas s’improviser, mais un job pour lequel j’avais signé en adoptant ma fille. J’étais fière d’elle.

† Pseudo(s) : Brune
† Âge : entre 18 et 22 ans selon les gens. Officiellement 28 ans.
† Pays : Furansu
† Comment as-tu connu le forum : à cause d'une hippie yogi
† Fréquences de connexions : plusieurs fois pas semaine
† Commentaire(s) : Vous avez le droit de garder le silence. Si vous renoncez à ce droit, tout ce que vous direz pourra être et sera utilisé contre vous devant une cour de justice.

† Pour le bottin :

Code:

<pris>Jude Law</pris> † Andrew Stewart

Bienvenue à New York !

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