(-18 ans) Début d'une nouvelle vie (Pv Jared) - 12 février 2022

Ce qu’il fait chaud dans cet appartement … Ou peut-être que c’est ma propre chaleur corporelle qui est en ébullition je ne sais pas trop. En tout cas à mesure que la scène se déroule, je sens mon désir grimper comme s’il ne s’arrêterait plus jamais de grimper. Ce que cet homme pouvait me faire de l’effet. La preuve, j’avais accepté de lui suivre en sachant très bien quel genre de rapports il avait et alors qu’en temps normal, j’étais plutôt du genre à prendre les choses en mains. Et pas vraiment à discuter aussi. Là c’était tout l’inverse. Je le laissais faire, je me laissais doucement aller au rythme qu’il dictait, et j’adorais ça. J’avais glissé ses main sous son tee-shirt, sentant ses abdominaux parfaitement dessinés sous mes doigts. Oh oui je me mordillais la lèvre … j’avais tendance à trahir mon désir de cette façon, Gabriel s’en était peut-être déjà rendu compte. Mais ce n’était que le début, le tout début. Je le sens se décaler et il retire son tee-shirt. Mes yeux viennent immédiatement se balader sur la vue qui comme au garage, est loin d’être désagréable. Je découvre ainsi tout son torse, tout le haut de son corps … je le laisse alors retirer mes mains de ses abdos à regret mais c’est pour mieux continuer à faire monter la température. Il est vrai que cette veste est de trop ici alors je le laisse la retirer avant qu’il ne m’agrippe les fesses. Je me laisse faire, je me laisse guider par ce beau gosse qui prend soin de main, et je le sens glisser sa main entre nous pour attraper mon paquet. Nouveau mordillement de lèvre alors que je laisse échapper un faible soupire. Il me lèche le cou, suçote mon lobe d’oreille … bordel que ça m’excite, je me sens de plus en plus à l’étroit dans mon caleçon.

Lui aussi veut profiter du spectacle. Comment lui en vouloir. Après tout, je n’ai pas à rougir de ce côté là. Mais pour le moment, il se contente de reprendre là où il était, m’embrassant presque fougueusement … je m’écarte de ses lèvres un court instant, le temps de retirer le plus vite possible mon tee-shirt, dévoilant à mon tour une carrure imposante et dessinée. Je le sens appuyer sur mon entre-jambe et cette fois, ma tête plonge se réfugier dans son cou avant d’y déposer mes lèvres et d’en mordiller sa fine peau. Moi aussi j’ai envie de le goûter, de sentir sa peau contre mes lèvres, de m’en délecter. J’ai envie de sentir son odeur, j’ai envie de plus … « Déboutonne mon pantalon Gabriel … s’il te plaît ... » Je suis presque suppliant dans ces paroles que je lui souffle. C’est agréable, mais je n’ai pas l’habitude que ça prenne autant de temps. J’ai envie qu’on accélère, qu’on passe encore au cran supérieur. Doucement, mes baisers remontent néanmoins contre sa mâchoire. Cette fois, j’ai envie que ce soit moi qui l’embrasse. Mes bras glissent dans le bas de son dos … je ne veux plus m’écarter de lui. Et finalement mes lèvres elles, atteignent leur destination finale et viennent capturer les siennes, toujours aussi fougueusement.

Je n’ai jamais ressenti une telle chose avant. J’en ai eu des conquêtes, de coups d’un soir sans lendemains, mais là … c’est différent. Malgré ce que l’on s’est dit au bar, sur cette petite fois sans conséquences, ça n’a rien à voir avec d’habitude. J’ai l’impression d’être redevenu un adolescent, totalement excité et désireux de passer un moment avec lui, mais aussi totalement maladroit et hésitant. Comme si j’avais oublié mes années d’expériences au pieu. J’essayais de me laisser guider, par lui, par mes pulsions, et c’est ainsi que je lui avais demandé de déboutonner mon pantalon. Mes dents se resserraient un moment contre le fine peau de sa mâchoire alors qu’il me griffait le dos. Seulement avant ça, il avait aussi répondu à mes propos. D’une manière dont on ne m’avait jamais répondu avant. Il me donnerait ce que je voulais, mais pas tout de suite, je devais le satisfaire avant pour ça. C’est lui qui menait la danse, il m’avait prévenu. Oh j’avais bien compris le sous-entendu pas de soucis, seulement moi je n’avais jamais fait ça. On s’était occupé de moi de cette manière oui, plus d’une fois, mais jamais je n’avais voulu me mettre dans l’autre position. Sûrement une espèce de fierté mal placée de mâle en recherche de virilité.

Sur le moment, je ne répond rien et continue de l’embrasser tout en cogitant quand même sacrément dans mon cerveau. Il se décale alors légèrement tout en me poussant sur le canapé, m’y faisant m’asseoir. Je le regarde alors retirer doucement ses chaussures, puis son pantalon. Je n’en perd pas une miette. Il se retrouve alors un boxer devant moi, c’est l’ultime morceau de tissus qui cache encore son corps, et quelle partie de corps ! Il revient alors vers moi, et mon regard remonte dans le sien. Il me surplombe de toute sa hauteur et vient chercher ma main, la faisant glisser sur la peau de son torse tout en descendant sur l’objet de mes désirs, mais aussi de toutes mes questions. Il me le redemande, si je m’occupais de lui ? Je n’ai toujours pas dis un mot, tiraillé entre tous mes questionnements, mes désirs, mes doutes. Il fais remonter ma main sur son torse avant de me lâcher, voulant sûrement me laisser faire à présent. Ma main ne quitte pas son torse. Je veux vraiment sentir sa peau contre la mienne. Je sens alors sa main glisser dans mes cheveux, les agrippants quasiment pour rapprocher ma tête de son entre-jambe. Je déglutis un moment, regardant en face de moi avant de pencher la tête en arrière pour le regarder lui. « Gabriel … j’ai enfin … comment dire … j’ai jamais fait ça … Enfin je dis pas que je veux pas le faire, si en vérité j’en ai même vraiment envie … c’est juste que j’ai peur de pas bien faire et que tu n’aimes pas ... » Je bégayais, plus que jamais. Il avait sûrement l’habitude d’hommes plus expérimentés que moi, lui qui fréquentait le genre de clubs dont il m’avait parlé. Mais dans le même temps, j’avais envie. Je ne l’avais jamais eu jusqu’à présent, mais avec Gabriel c’était différent. J’avais comme une envie incontrôlable de lui faire du bien, et de me faire du bien à moi par la même occasion.

J’ai osé. Il fallait que ça arrive de toute façon, je ne me voyais pas faire semblant de l’avoir déjà fait sans lui révéler que pour cette chose précise, c’était la première fois. Ne dit-on pas que le dialogue est important ? Bon ok, déjà c’est juste un coup comme ça, sans pression, mais je n’ai en plus jamais été du genre à discuter bien au contraire. Mais pourtant là, c’est comme si je savais au fond de moi que j’en avais vraiment besoin. Je le vois subitement changer d’attitude. Il s’agenouille devant moi et son visage se retrouve à ma hauteur alors que ma main elle, n’a pas quitté son torse. Sa main à lui, beaucoup plus douce que la mienne, vient caresser mon visage avant qu’il ne m’embrasse avec beaucoup plus de douceur que jusqu’à présent. C’est alors qu’il reprend la parole et là … je n’en reviens pas de ce qu’il dit. Et j’en prend aussi un sacré coup. Il vient vraiment de dire ça ? Le vrai Jared se serait sûrement énervé de se faire traiter de puceau ! Et puis quoi encore ! Moi, puceau ? Mais ses mots suivant avaient aussi quelque chose d’absolument attendrissant. Il ne comptait pas partir malgré ce qu’il pensait avoir comprit, au contraire il voulait même changer sa manière de faire, pour moi … En disant cela, il était venu déboutonner mon pantalon, celui là même qu’il ne voulait pas déboutonner juste avant, et je venais alors poser ma main libre dessus pour l’empêcher de continuer. « Gabriel … Je suis pas puceau ... » J’avais dis ça en le regardant droit dans les yeux, mais sur un ton très calme, ne cherchant absolument pas à le mettre mal à l’aise.

Mais maintenant, je devais aussi lui fournir d’autres explications car malgré tout, j’avais vraiment envie de faire ce qu’il voulait juste avant. Et intérieurement, je me dirais que ce serait plus facile s’il savait ce que je ressentais. « Ce que je n’ai jamais fait … enfin, c’est ce que tu me demandais … Moi j’ai jamais été dans des clubs pour … gens qui savent ce qu’ils veulent. Je vais dans des bars, je rentre avec une jolie fille ou un joli mec, je m’en occupe … disons quasiment de la même manière … et puis voilà ... » Je n’avais pas vraiment d’assurance en disant tout ça. Je me faisais souvent passer pour le mec fort, qui connaît tout ça, qui n’a peur de rien, et je crois que Gabriel m’impressionnait parce que en quelques échanges, j’avais compris qu’il en connaissait beaucoup plus, était dans le fond beaucoup plus à l’aise avec ce que nous nous apprêtions à faire. Cependant je n’en avais pas terminé et j’avais encore autre chose à ajouter. « Mais j’ai envie de faire comme tu veux … J’ai envie … je sais pas comment l’expliquer … mais j’ai envie que tu mènes la danse ... » J’étais une extrême sincérité dans mes paroles. Je m’étais ouvert comme jamais je ne m’étais ouvert à personne avant, avec cet inconnu, avec qui nous ne devions le faire qu’une seule et unique fois, pour le plaisir, et sans conséquences. Mais il me rendait fou et avec lui, j’avais envie d’explorer d’autre choses.

C’était vraiment étrange de lui confier tout ça. Je me sentais à la fois gêné et libéré. Peut-être même plus libéré encore que gêné au final. J’avais l’impression de retirer un poids énorme de ma poitrine. Au début il n’avait pas compris quand je lui avais dis que non, je n’étais pas puceau. Mais à mesure que je lui expliquais, ou que j’essayais de le faire en bafouillant totalement, je le vis retrouver le sourire … si beau sourire qui me faisait totalement craquer. Il avait compris. Du moins dans les grandes lignes. Car qu’on se le dise clairement, je ne m’étais jamais considéré comme dominant. Ça s’était toujours fait comme ça, parce que je pense qu’instinctivement j’allais vers les personnes qui me correspondaient … ou que je pensais me correspondre tout du moins. Il lâchait cependant des mots qui provoquaient quelque chose en moi sans que je ne comprenne vraiment pourquoi et surtout, je les répétais sans réfléchir. « Des gentils hommes soumis ... » Mais pas le temps de m’attarder là dessus car j’ouvrais grand les yeux à sa questions. A ça pour être cru c’était cru, et je sentis le rouge me monter au joues bien plus encore que les fois précédentes. « Oui … et j’ai jamais … taillé de pipe ... » répondais-je alors timidement. Un putain d’ado, voilà à quoi je devais ressembler actuellement, mais tant pis au moins il savait et c’était sûrement mieux comme ça.

Cependant, je n’avais pas oublié de lui préciser ce que je voulais. Ça me rendait certes anxieux, mais ses mots m’avaient donnés envie d’essayer, de le laisser mener la danse, de le laisser me guider vers son plaisir et le miens … Je remarque tout de suite que mes mots lui plaisent, car cette fois c’est lui qui se mordille la lèvre. Je ferme un instant les yeux lorsqu’il vient m’embrasser en me mordillant ma lèvre cette fois. C’est fougueux, animal … du moins, encore loin de ce que l’on peut imaginer, mais j’aime bien. Je sens sa main glisser dans mes cheveux et les agripper … ça aussi j’aime bien. Je sens alors son autre main agripper la mienne. Je ne peux pas le voir, toujours coller à lui, mais je sens bien où il l’emmène. Je sens que l’on passe sa prison de tissus et ça y est … Ma main rentre en contact avec son membre et l’entend grogner contre ma bouche. Je lui fais de l’effet moi aussi … et pas qu’un peu visiblement. C’est à cet instant qu’il me donne alors le conseil, celui qu’il fallait, le meilleur qu’il pouvait trouver pour me rassurer. Malgré ce que je pouvais penser, je n’étais pas un novice. Je ne l’avais peut-être jamais fais de cette façon, mais je l’avais déjà fais quand même, on m’avait déjà infligé à moi ce doux et agréable supplice. Je devais simplement faire ce que moi j’aimais qu’on me fasse. Je le regarde alors se relever de toute sa hauteur par rapport à moi qui suis toujours assis, sa main toujours dans mes cheveux, la mienne toujours dans son boxer. Il se rapproche alors et je me retrouve tout prêt de son entre-jambe sur laquelle mon regard se fixe. A moi de jouer maintenant et de dépasser mes angoisses. Nous sommes là pour nous faire plaisir avant tout non ? Je lâche un instant son membre, mes doigts s’accrochant à l’élastique de son boxer que j’abaisse pour le laisser tomber sur ses chevilles. Il est bien monté il n’y a pas à dire, et l’excitation est bien présente pas de doutes non plus. Ma main revient alors prendre l’objet de tous mes désirs entre mes doigts et cette fois, je commence à lent vas et viens. Ma tête est toujours proche et je la bascule un instant pour le regarder, je veux voir ce que je provoque chez lui … mais bien vite je me reconcentre sur ma tache et mes lèvres s’approchent, venant embrasser son gland avant de le prendre doucement en bouche. C’est la première fois, mais ce n’est pas désagréable … Et surtout, je garde une oreille attentive à ses réaction en m’en occupant doucement pour le moment.

Il ne savait pas s’il resterai sage longtemps. Cette phrase me provoqua un frisson incroyable. Je sentais une pointe d’adrénaline, tout ça c’était un défi pour moi, mais j’avais envie de le relever, pour nous deux. Pour son plaisir, pour le miens … Il y avait quelque chose chez lui qui me poussait à vouloir dépasser mes propres limites. Nous ne nous connaissions que depuis très peu et pourtant, je me sentais en confiance avec lui. Mais oui en tout cas, ce serait ma première pipe, avec lui. Et là première fois que … enfin qu’il passerait par derrière quoi. Je lâche cependant un petit sourire timide à ses propos, ne sachant pas quoi lui répondre de plus, mais surtout car dans ce genre de cas en particulier les actes valent mieux que de longues paroles. Je ne comprends pas pourquoi mais le semble fait de me maintenir les cheveux ainsi, d’approcher son entre-jambe de ma bouche, ça me procure déjà un putain de désir. J’ai envie de lui, j’ai envie de le goûter comme jamais je n’ai eu envie de goûter un homme avant. Alors je m’étais lancé, doucement, ne sachant pas vraiment à quel rythme je devais aller mais de toute façon, il allait vite me montrer qu’il était là pour ça. Je ressens un nouveau frisson en l’entendant soupirer à mes douces caresses. C’est agréable aussi, de pouvoir ressentir le plaisir qu’il commence à prendre avec moi. Mais je me rend tout de suite compte qu’il en veut plus. Son bassin avance et je dois prendre un peu plus en bouche sans qu’il en m’en laisse le choix, agrippant encore plus mes cheveux et alors qu’il lâche un râle de plaisir. Cette fois c’est ma tête qu’il pousse pour que je prenne un peu plus son membre en bouche et c’est carrément grisant de le laisser faire.

J’ai toujours une main posée sur la base de son sexe pour bien le maintenir et de l’autre, je viens faire ce qu’il me demande. Je viens prendre ses couilles entre mes doigts, les caresser. Il me dit que je dois le prévenir si c’est trop pour moi mais je ne suis actuellement pas en mesure de lui répondre quoi que ce soit. Et puis, je suis surpris par mes propres réactions. J’avais une appréhension, celle qu’il aille trop loin et que physiquement je ne le supporte pas … et pourtant il continue de s’enfoncer dans ma bouche et je continue d’apprécier ça. J’essaye même de jouer de la langue comme j’aime qu’on le fasse sur ma verge à moi. J’arrive alors à lever légèrement le regard sur lui malgré ma position et je le vois là, de toute sa hauteur … et a l’air de prendre du plaisir et moi, ça me rassure autant que ça m’excite.

Ça ne m’étais jamais venu à l’esprit avant. La manière dont je m’occupais de mes partenaires, hommes ou femmes, étaient comme une évidence pour moi et jamais je n’aurais imaginé me retrouver ainsi, dans cette position … la position de celui qu’on guide, à qui on dit quoi faire. Et pourtant, je ressentais une excitation toute particulière à ça, j’aimais ça. Il s’était mit dans cette position particulière, que j’avais quelques fois pratiqué avec les filles même si je n’étais pas coutumier du fait et s’occupait déjà de ma verge alors que je sentais ses caresses, ses lèvres s’occuper de mes boules … je soupirais, je sentais ma respiration s’accélérer légèrement, ce que c’était bon. Alors moi aussi, j’essayais de lui donner le plaisir qu’il voulait, et j’essayais de prendre son membre de plus en plus profond. D’ailleurs, c’est lui qui descend encore un peu plus dans ma bouche, ne m’en laissant pas vraiment le choix mais … bordel ce que c’est excitant ! Lorsqu’il descend un peu, je lâche un râle. Il descend jusqu’à ma rondelle, là où jamais personne ne s’est aventuré de cette manière et je soupire à nouveau. Ce n’est pas désagréable, bien au contraire.


Pendant ce temps-là, je profite qu’il se soit penché pour reposer complètement mon dos sur le lit. Ma main n’ayant plus besoin de me maintenir en hauteur, je la glisse à nouveau sur son fessier que j’ai trop pu caresser un peu plus tôt. Je lâche même sa verge pour que ma deuxième main rejoigne la première et je le fais moi-même descendre un peu plus dans ma bouche. Je n’ai pas une grande marge de manœuvre dans cette position alors j’ai besoin d’un peu d’aide. Il veut que j’aille plus vite et je fais tout ce que je peux, alors doucement, mes mains toujours sur ses fesses, je le pousse à faire le vas et viens avec moi pour m’aider. Pendant ce temps là, sa bouche revient à son point de départ pour prendre mon membre en bouche et je râle contre son sexe entre mes lèvres. C’est si bon … Et il y va direct, il n’a pas peur. Ça me pousse à essayer d’aller encore un peu plus vite moi aussi, alors que je sens mes pulsation cardiaques augmenter dans ma poitrine. L’une de mes mains quittent finalement ses fesses pour retomber sur le matelas, agrippant le drap de mes doigts. « Tu me rends fou ... » Lâchais-je finalement contre son gland avant de bien vite reprendre mon activité.

Ce que nous sommes en train de faire est si bon, si fort. J’ai envie que ça dure pendant des heures, que ça en s’arrête jamais même. Mes doigts son agrippés au drap, j’essaye de me retenir à ce que je peux tant j’ai l’impression de totalement perdre pied. Non seulement c’est grisant de lui donner du plaisir ainsi, mais de son côté il sait y faire, pas de doutes. C’est sans doute l’une des meilleurs pipes de ma vie et si je n’ai pas l’habitude d’en donner, j’en ai par contre souvent reçu. Il me baise la bouche avec vigueur et j’ai du mal à suivre la cadence mais je n’ai pas envie que ça s’arrête pour autant. Je grogne légèrement cependant contre son membre en sentant sa bouche quitter le miens. C’était si bon de sentir ses lèvres sur ma queue, de les sentir aspirer ma peau, sentir sa langue s’enrouler autour dans de sensuelles caresses. Il la prend cependant entre ses doigts pour commencer à me branler. Ce n’est pas aussi bien que sa bouche, mais c’est déjà mieux que rien. Et surtout, je le sens se ré attaquer à cet endroit qu’il a brièvement été découvrir tout à l’heure. Je sens sa langue essayer de forcer le barrage sans succès, mais ça m’excite encore un peu. Je sens alors cette fois sa main s’invite à la partie, caressant mes fesses avant que l’un de ses doigts ne vienne se poser sur ma rondelle. « Gabriel … vas y ... » Lui lâchais-je alors pour seule réponse contre son gland, reprenant mon job néanmoins de plus en plus difficile tant je perd pieds. Je ne sais pas encore les sensations que ça va me donner, mais ce qui est sur c’est que je veux plus, et je ne sais pourquoi mais je fais confiance à cet homme pour me faire découvrir.

Je le sens alors caresser mon petit trou, appuyant parfois dessus sans jamais passer le barrage. Et c’est alors qu’il me donne … une fessée. Pour le coup, je n’ai jamais vraiment osé en mettre à mes partenaires et pourtant … j’aime bien. Ça ajoute quelque chose de presque bestial, sauvage … Je sens mes ongles s’enfoncer un moment dans sa peau sur sa fesse alors que je lâche un petit cri de surprise étouffé par son membre toujours dans ma bouche. Mais déjà il reprend mon membre dans sa bouche, tout en continuant de s’occuper de ma rondelle, et ce que c’est bon, qu’on s’occupe ainsi de moi des deux côtés. « Gabriel ... » Soufflais-je à nouveau, me sentant de plus en plus proche du point de non-retour. J’en avais envie mais … je ne voulais pas non plus que tout s’arrête déjà maintenant. C’était trop tôt, beaucoup trop tôt !

Si l’on m’avait dit ça quand Gabriel avait passé les portes de mon garage plus tôt dans la journée ! Aujourd’hui devait être une journée comme une autre, à travailler d’arrache-pied au garage, tout seul, jusqu’à rentrer ce soir totalement épuisé et ne sûrement même pas avoir le courage de descendre vendre ma came. A la place de ça, cette journée avait viré en une vraie parenthèse enchantée ou je pouvais totalement me relâcher, oublier mes problème et me laisser guider pour qu’on prenne soin de moi et j’en avais cruellement besoin il faut dire ! Le petit jeu qu’il jouait avec moi là, c’était si bon. Il s’était partagé entre ma queue et mon petit trou, continuant de me sucer et de faire grimper le plaisir en moi. Mon membre à moi aussi est dur, volumineux et palpitant, comme le siens dans ma bouche. Il me mordille la cuisse et j’aime ça mais j’aime encore plus lorsqu’il reprend ma verge en bouche, me taillant une pipe à la perfection. Il vient parfois appuyer sur mon trou, il est patient pour ne pas me faire mal et j’apprécie. « Tu peux y aller ... » Lui dis-je cependant, n’étant pas en sucre non plus. Je l’entends grogner lorsque je plante mes ongles dans sa fesses. On dirait que lui aussi aime ce côté animal, et pourtant je suis encore loin de mes surprises.

Je sens ma respiration de plus en plus rapide, et le rythme est devenu tellement élevé en plus dans ma bouche que j’ai vraiment du mal à reprendre mon souffle. Je sens alors son doigt franchir ma rondelle pour la première fois et je gémis doucement sur sa queue. Il recommence, plusieurs fois, et moi ...j’en veux plus. Tant mieux car il finit par l’enfoncer totalement, tout en me suçant encore plus vite. Je laisse enfin sa queue à lui sortir de ma bouche, et on peut enfin entendre ma respiration rapide et bruyante. « Gabriel … je vais … je vais jouir ... » J’ai du mal à parler mais je veux le prévenir. Moi j’aime bien jouir dans la bouche de mes partenaires, mais tous n’aime pas forcément recevoir et c’est quelque chose que je respecte. Alors, je veux lui donner le droit de retirer sa bouche de ma verge s’il le souhaite car moi à cet instant, je suis vraiment au bord du précipice et je peux venir d’une seconde à l’autre.

C’est sans doute précipité par le plaisir que je prend actuellement, mais j’ai véritablement l’impression d’être avec un dieu du sexe actuellement ! Il sait tellement bien y faire … On est vraiment loin actuellement de mes coups d’un soir ou je tire mon coup vite fait et que c’est terminé ! Actuellement, je ressent un plaisir infini, comme si j’étais prêt à franchir le point de non-retour à tout moment. Et puis, ce doigt à travers mon petit trou … ah je me mordille la lèvre alors que sa queue traîne toujours au dessus de ma bouche m’offrant une vue magnifique. C’est fou comme ma rondelle essaye de chasser ce corps étranger sans y arriver, et bordel que c‘est bon ! Pourtant il n’y a qu’un doigt, un seul et unique doigt, mais c’est agréable. Et puis de toute façon, je suis tellement proche du précipice que je n’arrive plus à réfléchir à quoi que ce soit. Je me laisse aller, je le laisse faire complètement incapable de faire autre chose. Il me prend si profond … j’ai l’impression que ses lèvres vont finir par toucher mon bas ventre … Et c’est si bon ! Je lui dis que je vais jouir, pour le prévenir, mais tout ce que je sens c’est qu’il accélère encore sur ma queue comme dans mon petit trou. J’imagine que ça veut dire que j’ai le feu vert ! Je sens alors un autre de ses doigts approcher derrière … Les deux côtés ensemble, j’ai l’impression que le plaisir est décuplé par rapport à tout ce que j’ai toujours connu.

Il continue alors sur un rythme de dingue et j’essaye de repousser le moment final le plus possible pour continuer de profiter … Pendant un temps tout du moins, car là je ne peux plus. Je sens l’orgasme me traverser de toute part et lâche un râle plus fort encore que jusqu’à présent dans la pièce, laissant à nouveau mes ongles se planter dans sa chair au niveau de ses fesse, et dans le matelas de l’autre côté. « Gabriel ... » Lâchais-je d’une voix forte alors que déjà, je me déverse directement dans sa bouche. Mais je n’arrive même pas à réfléchir, totalement absorbé par ce plaisir intense … Mon cœur n’a jamais battu aussi vite et mes poumons peinent à pomper assez d’air pour alimenter mon cerveau en oxygène. C’est si bon et quand enfin le plaisir commence à redescendre, je suis triste que ce soit terminé … « Bordel Gabriel ... » Lâchais-je cette fois un peu plus doucement … Ce qu’il venait de me faire vivre là … C’était comme si je ne revivrai plus jamais rien d’aussi bon alors que pourtant, cette soirée ne faisait que commencer.

C’est incroyable … absolument incroyable ! Je viens de prendre un pied d’enfer, comme ça faisait bien longtemps que ça n’avait pas été le cas. Est-ce que ça avait déjà été le cas même ? Je n’étais pas sur. Pas pour une pipe en tout cas. Mais là non seulement il s’y prenait comme un dieu, mais il y avait aussi ce petit truc en plus dans mes fesses. J’avais alors tout lâché, me vidant en lui et là encore il ne me déçoit pas, n’en manquant pas une goutte et nettoyant parfaitement ma queue après ça. Je me laisse totalement retomber sur le matelas, les bras en croix, le dos complètement détendu contre les draps et mon souffle encore court. Il me demande vraiment si j’ai aimé ? Ma réaction ne lui a donc pas suffit ? C’était pourtant assez clair … Mais je peux imaginer qu’il veut me l’entendre dire, peut-être a-t-il besoin de se rassurer aussi. Non il n’a pourtant pas l’air d’être le genre à avoir besoin de se rassurer. « C’était … Exquis ... » Mais il continue de parler et là, je sens une nouvelle décharge électrique me travers de toutes parts. Ce n’est que le début … il veut me rendre fou, me faire connaître ce plaisir intense, me faire avoir tellement d’orgasmes … je ne suis pas totalement bête, je sais de quoi il veut parler en disant ça. Et puis, lui n’a pas jouit dans l’affaire, alors évidemment que ce n’est pas terminé !

Mais il ne me laisse pas le temps de lui répondre que déjà il se laisse tomber sur le côté pour … mieux me retourner. Je me retrouve sur le ventre … Enfin pas pour longtemps car il me fait replier les genoux pour être à quatre pattes. Pour lui offrir au mieux mon petit trou, j’imagine. Oh oui j’imagine bien car je sens sa langue venir lécher ma rondelle. Je n’avais jamais imaginé que ce puisse être aussi bon et à cet instant, je me maudis presque d’être resté braqué pendant si longtemps sur des fausses idées que je pouvais me faire. J’avais posé mes avant bras sur le drap, tout comme ma tête, encore légèrement haletant de cet orgasme qui venait de me vider de mon énergie également. Pourtant, je me laisse terriblement prendre au jeu qu’il est en train de me faire subir. Je sens sa langue, puis son doigt … ses doigts. Et puis une nouvelle claque sur les fesses me fait gémir. « Hum, Gabriel ... » Soufflais-je en le laissant continuer cette douce torture. Il y allait tranquillement et je sentais ma rondelle se détendre doucement sous ses doigts malgré cette recherche d’expulsion de ce corps étranger. C’était bon oui … terrible bon ...

Une seule et unique fois oui … pour le plaisir et sans conséquences … De toute façon je m’appelais Jared Parker, les conséquences je n’avais jamais su ce que ça voulait dire avant d’être devant le fait accompli. Il y avait un mélange de douceur et de bestialité chez lui, et je comprenais bien à la fois à ses gestes mais aussi par ses mots qu’il faisait attention à moi, me sachant novice dans ce domaine en particulier. Des plans j’en avais eu oui, plus que de raison sans doute, mais jamais comme ce qu’il se passait là. « Fais-moi découvrir ... » Répondais-je dans un souffle à ses mots. Je le trouvais vraiment adorable à se soucis de mon bien-être de telle manière et je devais reconnaître ne jamais avoir pris autant de gants avec qui que ce soit moi, même si ça n’avait jamais semblé poser problèmes non plus. Je me retrouve donc à quatre pattes, mon cul totalement offert, et lorsqu’il commence à le lécher, à le pénétrer doucement de sa langue puis de ses doigts … c’est vraiment divin. Je regrette presque à cet instant de ne jamais y avoir goutté plus tôt à cause de cette fierté mal placée. Peut-être que plus tard je pourrais aussi aller dans ces clubs pour gens qui savent ce qu’ils veulent, puisqu’avec Gabriel ce sera une seule et unique fois …

Mais pour l’instant, nous sommes bel et bien ensembles et il n’est pas question de penser à autre chose. Il me claque le cul et je gémis son prénom. Ça aussi je ne l’aurais jamais accepté avant mais là … Oui j’aime véritablement qu’il le fasse. Et lui aime m’entendre aussi visiblement … « Ah oui, vraiment … Gabriel ? » Lâchais-je avec un petit sourire coquin même s’il devait avoir du mal à le voir dans ma position. J’avais bien insisté sur son prénom à la fin de la phrase, c’était presque provoquant mais j’étais sur qu’il allait aimer. Il continuait alors son travail sur mon derrière et je pu sentir un troisième doigt avant de lâcher un petit gémissement en le sentant me mordre la fesse. Et puis d’un coup … plus rien. Il se retire et s’en va. Je tourne légèrement la tête pour essayer de regarder mais il a disparu, probablement dans sa salle de bain. Il revient cependant vite avant de s’expliquer en me montrant … un gode. Ok, donc là on part vraiment sur tout ce que j’ai toujours repoussé depuis des années ! Cependant je ne peux nier qu’il a raison, il y a une différence entre trois doigts et son membre que j’ai moi-même pu sentir imposant dans ma bouche et qui actuellement est bien dressé. J’acquiesce finalement pour lui répondre par l’affirmative. Si c’est le moyen pour ne pas avoir mal, alors allons-y … car moi j’ai très envie de découvrir ce que ça fait de l’avoir lui dans mes fesses ...

A la base, ça devait vraiment juste être une journée comme une autre. Ou au pire, le jour où je trouverais quelqu’un pour m’épauler au garage, ça aurait déjà rendu cette journée bien particulière. Mais non, même ça ce n’était pas suffisant. Il avait fallu que je me retrouve allonger sur le lit de mon futur employé, à poil, et découvrant petit à petit les plaisirs de la passivité au lit. Plus il avançait, et plus ma soif d’en sentir plus en moi grimpait aussi. Il continuait ses vas et viens à deux doigts, puis trois doigts … je soupirais par moment car j’appréciais vraiment ce traitement qu’il me donnait. Quand j’ose redire son prénom, je sens une nouvelle claque sur mon postérieur et je me mordille la lèvre. Ça aussi j’aime bien, le provoquer gentiment … Et vu sa réaction rapide comme l’éclair, je crois que je ne suis pas le seul. Mais d’un coup, il avait tout arrêté et je n’avais pas vraiment compris pourquoi. Jusqu’à ce qu’il revienne avec un tube de lubrifiant et … un gode. Oui j’avais accepté malgré une légère tension intérieure, parce que je ne sais pour quelle raison je lui faisais confiance. Peut-être justement car il n’y allait pas brutalement malgré ce qui semblait être dans ses habitudes mais cherchait surtout à ne pas me faire mal moi. Il pensait à moi oui … et ça c’était une sacrée preuve de confiance.

Il m’avertit alors tout en se replaçant derrière moi, je dois l’arrêter à la moindre douleur. Encore une fois il est prévoyant et cela continue de me mettre en confiance. Je sens le lubrifiant couler sur ma rondelle, c’est frais mais pour l’instant je n’en fais pas de cas. Il vient alors faire glisser le gode entre mes fesses et je me mordille la lèvre. Cette fois, c’est l’attente qui parle. J’ai autant d’appréhension que de désir de découvrir cette sensation. C’est alors qu’il commence à l’introduire à travers mon petit trou et je lâche un cri mélangeant douleur et … plaisir ? Oui il m’a dit de l’arrêter à la moindre douleur et pourtant … j’ai l’impression que cette douleur participe à mon plaisir. Ma rondelle est toute tirée et cherche par tous les moyens à expulser ce gode mais il reste là, bien en place. Pendant ce temps là, mes doigts se sont à nouveau refermés sur le drap et ma respiration est redevenue bruyante et rapide.  « Tu peux … continuer … Gabriel ... » Lui dis-je alors entre mes respirations, de peur qu’il ait interprété mon cri comme un signal pour arrêter. C’est alors que … je ressens les vibrations dans mes fesses, à l’intérieur de moi. Je n’avais absolument pas remarqué que ce jouet était vibrant avant moi mais là, absolument impossible de passer à côté … et bon dieu que c’est bon. Je n’ai jamais sollicité ma prostate avant ça moi, c’est nouveau … et je suis déjà prêt à tomber amoureux de ces nouvelles sensations ...